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QUI SUIS-JE ?

 

 

 

Il ya longtemps que je m’étais promis de faire cette démarche de tenter de dire qui je suis réellement. Vais-je le faire ? Non ! Je ne pense pas…… Mais je vais vous montrer comment vous pouvez faire pour savoir qui vous êtes. Avant tout le but est de ne pas tricher…….

              

      Toute ma vie j’ai été un battant, ça c’est certain. D’où me venait cette force, d'ou vient cette énergie qui était en moi depuis toujours ? Là est toute la question. Dans ma vie j’ai subi clash sur clash et je m’en relevais toujours. Je disais que j’avais un ange gardien très particulier. C’était ma force. Je savais que quoi qu’il arrive, il était toujours là pour me sauver. Je n’avais jamais pensé qu’il pouvait être une femme, ou qu’ils étaient plusieurs.

 

      La première des choses pour savoir qui on est c’est de se remettre en question fondamentalement. Il faut le faire sans concessions en se mettant à nu complètement. Il est hors de question de se voiler la face, ou de dissimuler des défauts de notre personnalité. En fait il faut vider son subconscient. A partir de ce moment ou le subconscient est vidé, il ne reste que notre conscient et notre conscience. Le tout ne faisant qu’UN. A partir de ce moment là nous devenons un ENTIER. C’est là que nous savons qui nous sommes réellement.

 

      Il ne s’agit pas d’une « révolution » mais d’une « évolution ».

 

      En 1994 quand j’ai fait cette démarche j’étais au fond du gouffre. L’homme ne comprend pas, ou ne commence à se poser des questions, qu’en se prenant des baffes. Tant que tout va bien il ne se posera jamais ce genre de question. Est-ce qu’en 1994 ce clash qui a démoli ma vie faisait partie de mon destin ? Maintenant je suis persuadé que j’ai eu cette chance de pouvoir me questionner suite à ce clash. Donc ce qui était le pire du négatif est devenu positif maintenant. Cette façon de raisonner je ne l’aurais jamais eue si je ne m’étais pas remis en question fondamentalement.

 

      Suis-je différent maintenant ? Au fond je ne le pense pas ! D’aspect non plus : je suis toujours le même. Ma femme qui est la personne qui me connaît le mieux dit le contraire. Elle dit que je suis totalement différent depuis ce clash en 1994. Avant je ne riais jamais, et maintenant il m’arrive de sourire souvent. Est-ce que le fait d’avoir libéré mon subconscient me libère des contraintes de la vie ? Maintenant je vois les choses autrement et je profite au maximum de tous ces petits moments de plaisirs dans la vie. En fait avant je ne prenais pas le temps de vivre : j’existais. On doit vivre à 200% et ne surtout pas exister sur terre. VIVRE et ne pas EXISTER......

 

      Quand j’ai eu ce clash en 1994 j’étais prêt à aller en enfer pour comprendre, et même y laisser ma vie au passage. J’avais la haine car je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Bizarrement je savais que j’étais arrivé à un moment charnière dans ma vie. Le problème c’est que je ne maîtrisais plus rien. J’étais vidé et fatigué. Tout m’échappait à une vitesse « grand V ». Pour la première fois de ma vie le battant que je suis était incapable de maîtriser sa vie. Je suis presque devenu un clochard. Il a fallu que j’en arrive là pour retrouver la rage de vivre. Ce passage faisait parti de mon destin, c’est certain.

 

      J’ai eu la chance de me retrouver avec le don de l’écriture automatique et de pouvoir communiquer avec cet ange gardien. Au début il y a eu des moments très durs, car je n’acceptais pas ce qui m’arrivait. Puis le dialogue s’est instauré. Il m’a expliqué pourquoi j’en étais arrivé là. Vous n’avez pas cette chance que quelqu’un vienne vous aider pour comprendre. C’est pour cette raison que je vais vous expliquer comment j’ai fait pour me remettre en question. Au départ BLAISE (cet ange gardien) m’a demandé d’écrire le récit de ma vie. Le but est de vider sa mémoire jusque dans les moindres détails, et le plus loin possible dans notre enfance. En fait, en faisant cela nous vidons notre subconscient. Quand les détails reviennent, souvent le négatif devient positif, avec le temps. Ou inversement aussi. Le fait d’écrire notre histoire notre conscience nous oblige à nous poser des questions sur les détails de ces moments là. C’est là qu’on se rend compte que tout est différent dans la réalité. Si on a fait des erreurs et qu’on les rejette parce que ça nous gêne ça ne sert à rien de continuer. Il faut accepter ses erreurs et s’en servir dans l’avenir comme d’un exemple. Des erreurs on en a tous fait. Ce sont les erreurs qui font de nous qu’on devient un homme si on sait s’en servir pour corriger notre chemin de vie.

 

      Il y a une autre solution qu’on peut ajouter au fait qu’on écrit notre histoire. Il s’agit de séparer le négatif et le positif. On écrit tout ce qui est négatif avec le négatif et tout ce qui est positif avec le positif. Là ça se complique car ou est le positif et le négatif ? Quand on fait cette démarche on a l’impression que notre cerveau va exploser. Au début c’est un chemin inversé vers notre enfance, puis tout se mélange. A partir de ce moment là on repart de notre enfance vers le présent. Et là on divise ce qui est négatif ou positif. Le puzzle se reconstitue différemment dans notre tête.

 

      Une fois qu’on a fait le vide du subconscient et qu’on est en "unité" avec notre conscient, on a une impression de légèreté. C’est à ce moment précis qu’on doit se retrouver aussi en unité avec notre corps. L’esprit doit être en union complète avec le corps. Ce mariage du corps et de l’esprit est essentiel. C’est notre âme qui en dépend. Si l’esprit est bien et que le corps est malade rien sera en unité. Inversement c’est pareil. Par contre l’esprit est un moteur qui dirige le corps. C’est pourquoi il faut commencer par laver son esprit et ensuite le corps. Si on se sent bien dans sa tête on a envie de montrer une belle image de nous. Après, plus tard, on se rendra compte que l’image qu’on donne aux autres n’a pas d’importance, mais ça c’est une autre phase, plus spirituelle. On peut montrer une belle image pour dissimuler un mal être de l’esprit. Dans ce cas ça ne marche pas longtemps car on est gauches et on commet des erreurs. En fait toute ma vie j’ai fait cette erreur de dissimuler mon mal être, tout en montrant que j’étais un battant. Je m’efforçais  d'être toujours le meilleur. C’était la meilleur façon qu’on ne remarque pas mon mal être intérieur. Le pire c’est que j’avais le message depuis mon adolescence : la Pentecôte. Un clou qui s’enfonçait dans ma vie chaque année. Je refusais ce message et je me démolissais pour l’ignorer.

 

      Aujourd’hui ma seule religion c’est d’essayer de me conduire en Homme. La pire des religions car ce code de vie est le plus dur à faire. A chaque décision on doit se demander si on ne va pas nuire aux autres. En évitant de nuire aux autres il ne faut pas non plus se nuire à soi même. Il faut trouver le bon compromis sans se dévaloriser ni faire du mal aux autres. Respecter les autres et se faire respecter aussi. Aider quand on peut le faire, un sourire c’est le meilleur des remerciements.

 

      Mon problème crucial c’est que je suis un guerrier dans l’âme. Je dois contrôler constamment mes pulsions. Quand je ne parle plus… c’est là qu’il ya le plus de danger car je peux exploser à tout moment. Tant que je peux diffuser, ou canaliser, cette fureur qui est en moi depuis toujours, tout va bien. A partir du moment où je me ferme cette fureur devient explosive. Un peu comme une cocote minute. Je dis souvent que cette fureur qui est en moi c’est elle qui me tuera. Quand je travaillais j’utilisais cette énergie en me défonçant au travail. Résultat je tuais mon corps. Même si je souffrais Physiquement je continuais. Souvent j’ai dépassé les limites de mon corps. Maintenant je dis que j’économise la bête, car je suis conscient qu’un jour ça pourrait me coûter la vie.

 

      Je n’ai jamais eu peur de la mort. Avant j’étais inconscient et je ne pouvais imaginer qu’un jour je pourrais mourir. En 1994 quand je me suis bagarré contre l’au delà, j’ai pris conscience que la mort existe. Je peux mourir à cet instant je n’aurais pas peur de passer la porte et aller au delà du miroir.. Si un jour je dois mourir de fatigue ou de maladie au moment de passer la porte je ne peux pas affirmer que je n’aurais pas peur. L’occulte est toujours ce qui nous fait peur.  Je sais aussi que je dis que je n’ai peur de personne. En fait dès que je ressens la peur aussitôt cette fureur m’envahie et la peur disparaît pour faire place au guerrier que je suis. Au moment de mourir est ce que je serais un guerrier ? Là est toute la question. Si je meurs dans un clash la question ne se posera pas. Il me faudra faire face à cette nouvelle réalité, et l’assumer comme je l’ai toujours fait, sur cette terre.

 

      Les femmes ont toujours été présentes dans ma vie. J’ai été élevé par ma mère et ses deux sœurs. Ensuite je ne peux pas nier que j’ai eu trop de femmes dans ma vie d’homme. Quand je me suis marié j’étais envahi par les copines de ma femme. Après j’ai eu 3 filles qui amenaient aussi leurs copines à la maison. Des soutifs et des petites culottes j’en ai vu de toutes les couleurs. On me demandait même mon avis pour le choix des modèles ou des couleurs, ou de la dentelle. Tant que je suis dans un milieu avec des femmes tout va bien. Dès que je suis avec des hommes aussitôt ça se complique: c’est le conflit. Un peu comme si les hommes ressentaient que je suis différent. Sûrement les ondes de cette fureur qui sont une sorte de protection pour les femmes et une agression pour les hommes. Avant je me servais de cela pour provoquer et m’affirmer. Maintenant je m’éclipse subtilement.

 

      En revanche quand je suis en face d’une personne qui utilise sa force et sa position sociale pour rabaisser les autres, je ne peux pas résister de le démolir. J’éprouve un plaisir immense à casser cette personne en mille morceaux. J’ai toujours été un protecteur dans l’âme. Il ne faut surtout pas s’en prendre à ma famille ou mes animaux. Il en est de même pour les "petits". Aussitôt je deviens un guerrier. J’ai les mots tueurs et tranchants. Dans ces moments là rien ne peut m’arrêter. En plus j’ai l’impression d’être guidé et protégé. J’ai l’impression que rien ne peut m’arriver. Ma force c’est de savoir au fond de moi que je fais cela pour le bien. Protéger ma famille ou un pauvre ou un petit qui pourrait me le reprocher?

 

      On me reproche souvent d’avoir des idées différentes des autres. A cela s’ajoute que j’ai une vision des choses qui me permet de prédire l’avenir. Je suis très souvent incompris sur ma façon de voir comment vont évoluer les choses. Souvent j’ai l’impression de passer pour un con. Mais quand les choses arrivent et que j’avais raison j’ai l’impression d’être encore le con dans cette finalité. Je savais, j’étais le con, c’est arrivé et je suis encore le con. C’est pour cela que je dis souvent que je sais que je suis un con mais pas la moitié d’un con, je suis un con entier. Me prendre pour un con c’est une chose qui me met la rage. Au final c’est rarement moi qui suis le con. J’ai le don de savoir inverser les choses au bon moment (mon coté poisson sûrement). Là aussi j’ai l’impression d’être guidé et protégé. Bizarrement je suis toujours présent au moment ou la personne reçoit l’effet boumerang. Un peu comme si on me montrait que j’ai eu raison et que justice est faite.

 

      Je dois également gérer mes pensées car je sais que la pensée créative existe. Chez moi c’est pire que chez les autres car je suis relié avec l’au-delà. Si j’ai la rage contre quelqu’un inévitablement ce que je vais penser va arriver. Un peu comme si la rage était une énergie créatrice du vouloir. Ce phénomène existe et il est difficilement gérable. Seule la sagesse peut freiner ce phénomène. J’essaie d’être sage avec cette chose. Avant j’étais trop impulsif et explosif.

 

      Avec le don que j’ai suis-je différent des autres ? Sur le fond oui je suis différent. Depuis tout petit je sais que je suis différent. A l’école on disait de moi que j’étais trop intelligent. En revanche je m’efforce d’être comme tout le monde. Ce n’est pas toujours facile. Si je voulais je pourrais utiliser ce don de l’écriture auto pour connaître mon avenir ou celui des autres. Je pourrais aussi demander de l’aide ou qu’on me donne certaines choses. Cela je me l’interdit. Je ne veux rien savoir sur mon avenir ou sur les autres. Je veux être un homme ordinaire qui vit comme les autres. La seule chose que j’accepte c’est cette protection que j’ai depuis toujours. J’accepte aussi d’avoir une intuition sans faille. Je me trompe rarement sur mes intuitions. C’est ma protection. Je sais aussi que l’intuition est une forme de communication avec l’au-delà. On me prévient par le subconscient. Je sens les choses venir sans en connaître les détails : ça me suffit. Je suis en alerte et je cherche à quoi correspond ce ressenti.

 

      Si j’ai toujours eu ce message de la Pentecôte dans ma vie et que bizarrement j’ai eu ce don de l’écriture automatique ce n’est pas un hasard. Les deux sont liés au mystère du saint esprit. Le jour de la pentecôte tous communiquaient et pourtant tous parlaient des langues différentes. Moi je communique avec l’au-delà par l’écriture et par l’esprit. Bien sûr il ya une raison à tout cela. Cette raison je la refuse encore. Je la connais mais je ne suis pas prêt à l’assumer. La seule chose que j’accepte actuellement c’est d’écrire mes ressentis et de dire certaines choses subtilement. Toute ma vie mon karma a été la « famille ». Mais en fait de quelle famille il s’agit ? Celle sur terre ou celle la haut ? Celle de la chair ou celle de l’esprit ? Est-ce cette famille qui me protège ? Est-ce cette famille qui est ma force et qui me donne cette fureur qui est en moi depuis toujours. Bien sûr que oui. Avant je le savais mais je le refusais. Ce truc était bloqué dans mon subconscient. Il a fallu qu’il m’arrive ce clash en 94 et que j’accepte de faire le bilan pour découvrir cette chose enfouie en moi, au plus profond.

 

      Ma vie n’a pas été un hasard : tout était calculé. Avec le recul je peux dire que j’ai presque tout affronté sur terre. J’ai vécu des choses que peu d’hommes ont vécues. Mon chemin de vie non plus n’est pas un hasard. L’énigme c’est pourquoi moi et pourquoi j’ai vécu cette vie là ? C’est ce qui me permet de dire que fondamentalement je n’ai pas changé et que je suis toujours le même. Quand j’ai cherché à savoir qui j’étais en fait je n’ai fait que libérer ce que je refusais de savoir. Cette démarche m’a malgré tout montré quel homme j’ai été et quel homme je suis aujourd’hui. Dans le fond je suis un rebelle qui refuse les compromis entre le bien et le mal. J’estime qu’un homme adulte doit savoir s’il fait le bien ou le mal dans ses actions.

 

      Toute ma vie j’ai été un rebelle. Une sorte de rage à tout refuser en bloc. Je ne savais pas d’où venait cette rébellion. Bizarrement je respectais ceux qui me respectaient, ou m’acceptaient tel que j’étais. Si un patron me considérait comme un esclave aussitôt je me rebellais. Je faisais tout pour montrer que j’étais le meilleur professionnellement. Si on me respectait à travers mon travail je devenais le meilleur. Cette rébellion venait sûrement du coté spirituel (esprit). Du jour ou j’ai accepté certaines choses dites « paranormales », pour certains, tout est devenu plus facile pour moi. En fait cette rébellion venait d’un refus de ces choses dites « para-normales ». Le problème est simple : je refuse les compromis entre le bien et le mal, les compromis entre Lucifer et Yahvé. Mais d’où vient cette rébellion ou ces refus ? De mes vies antérieures ? La solution est sûrement là !

 

      Maintenant je suis toujours un rebelle mais je sais contre quoi je me rebelle. Avant cette rébellion était instantanée sans en connaître la raison. Quand je me suis posé la question sur ce problème j’ai découvert que ceux qui sont des meneurs, ou les pères, de religions étaient tous des rebelles : Moïse ou Jésus en sont le plus grand exemple. L’histoire est truffée de ces rebelles qui ont été considérés ensuite comme les grand hommes de l’histoire. Donc on peut se poser la question suivante : est ce que les rebelles sont des hommes différents des autres ? Hommes ou femmes, je précise. Certains sont des moutons et les autres sont des rebelles. Bizarrement tout est fait pour mettre des bâtons dans les roues des rebelles. Plus on se rebelle et plus on devient des battants car tout est fait pour nous détruire et nous empêcher de réussir. Mon idée c’est que plus on refuse l’idée du mal et plus le mal intervient dans notre vie pour nous nuire. Ça rejoint l’idée que plus on s’approche de la lumière et plus on risque de se brûler les ailes.

 

      Je suis un rebelle dans l’âme et je le serais jusqu’au bout. J’ai l’âme d’un guerrier et j’espère qu’au moment de ma fin je serais ENTIER. Une fois de l’autre coté du miroir je crois que je vais leur demander des explications et que le rebelle que je suis le restera encore de l’autre coté.

 

      En fait je suis MOI et j’espère le rester toujours…………

 

                   Et vous qui êtes vous?.............

 

 

 

 

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